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citations rigolotes
20/10/2005 17:29
1)"la paresse, c'est se lever à 6H du matin pour avoir plus longtemps à ne rien faire", Tristan Bernard 2)le sourire coût moins cher que l'électricité et il éclaire mieux 3)"je ne promet jamais rien, parce que j'ai la mauvaise habitude de tenir mes promesses"Jules renard 4)Ecrire, c'est le moyen de parler sans être interrompu"JR 5)La mode est une forme de laideur si fatiguante qu'il faut en changer tous les 3mois"Oscar Wilde 6)C'est pas parce qu'on à rien à dire, qu'il faut fermer sa gueule 7)"L'homme n'est pas fait pour travailler et la preuve, c'est que ça le fatigue"Marcel Pagnol 8)"J'ai décidé dêtre heureux parce que c'est bon pour la santé"Voltaire 9)"Un pour tous, tous pourris"Coluche 10)"Je crois à la chance, c'est la seule explication pour le succès des gens qui nous sont antipathiques" 11)un gentleman est u monsieur qui se sert d'une pince à sucre, même quand il est seul"Alphonse Allais. 12)Il était une fois un officier de cavalerie tellement bête, que ses camarades s'en étaient aperçus 13)"l'argent ne fait pas le bonheur, mais il aide à pleurer confortablement" 14)Certaines femmes aiment tellement leur mari, que pour ne pas l'user, elles utilisent celui de leur amies. 15)"la bonne taille, c'est quand les pieds touchent par-terre"Coluche 16)"un intellectuel est quelqu'un qui rentre dans une bibliothèque publique, même quand il ne pleut pas" 17)Le tibia est un machin, qui sert à repérer les meubles dans l'obscurité
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Engloutie
20/10/2005 17:12
La mort diapre de soupirs, Un corps diaphane de cire... Cadavre laiteux dormant Statue de marbre envoûtant.
Les miroirs d'eau et de glace Reflètent l'impassible femme, Amphore livide qui trace, Son corps, son linceul sans âme.
Dans ton froid palais de sel, Ta lèvre morte d'écume, Murmure la passion charnelle, Désenchantement posthume.
Tes oripeaux voletants, Yeux baissés vers le Levant, Tu sombres comme une épave, Toi, l'allégorie suave, ESPOIR
Commentaire de lemoche (21/10/2005 23:17) :
tres beau poeme j adore le cercle des poemes disparus
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Les amants liés par une étoile
20/10/2005 16:43
Au milieu de cette immensité lacunaire, Comme une cloche d’eau nocturne et mordorée, Trônait un chrysolithe aux facettes hâlées. Je savais bien qu’au bout de cet être stellaire, Elle était là, les yeux et la bouche mouillée, Observant cet astre opaque blanc et reflété Dans les eaux nues, livides et à travers la Terre. Elle pensait sûrement à notre étoile sacrée, A nos promesses amères qu’ont ne peut jamais taire... Là haut, au milieux des toiles, filets argentés, Des astres chyprés, des pensées parfois murmurées, L’amour se mêle en une nuée téméraire. C’est la magie de l’Espace, des fougues éloignés !
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